L’année 2019 restera une nouvelle fois, celle des records. Portés par des taux immobiliers au plus bas, les plafonds de prix au mètre carré dans les grandes métropoles régionales, ont explosé. L’immobilier ancien étant le grand gagnant de ces hausses successives, même si l’immobilier neuf a enregistré de bons résultats. La faiblesse des rendements des placements financiers et le chômage en baisse, poussent les investisseurs vers l’immobiliers. Toutefois, cette hausse n’a pas été uniforme sur le territoire. Certaines régions, situées loin des grandes métropoles, se sont essoufflées et les prix ont commencé à baisser.
La crise sanitaire de 2020 à entraîné un retournement de tendance. En effet, beaucoup d’économistes s’accordent pour dire que tant que les taux d’intérêts resteront bas, le marché pourrait rester porteur sauf conjoncture ou crise économique latente. C’est le cas avec la crise économique qui se profile en France suite au coronavirus .La bulle immobilière qui s’est crée sans correctifs depuis de nombreuses années, pourraient engendrer une baisse des prix de l’immobilier dans les prochains mois, si la crise économique perdure. Bien que les transactions qui ont fait suite au confinement se soient révélées importantes, elles devraient baisser à compter de septembre 2020 dans les grandes villes..
En conclusion, investir en France, dans une grande métropole, peut se révéler plus rentable qu’un placement financier, mais il faut commencer à intégrer, un risque de moins-value à la sortie car les prix ne resteront pas à leur plus haut d’aujourd’hui.